Nous avons passé ce week-end dans le froid, plus que dans le gîte! Pour le froid...parce que ça meulait dur dehors. Pour le gîte...parce que le jeu de l'aprèm, la veillée et le jeu du matin étaient dehors... Et oui, on vit à la dur ici!
Revenons en aux faits. L'équipe, amputée de plusieurs de ses membres pour cause de maladie a fait escale à Clairegoutte, ou plutôt dans le Pays Radin par mégarde, ce qui nous causera de mauvaise surprises. En effet, Tagadam et son équipe sont répiadement "accueillis" par un villgeois mal fagotté et armé d'un gourdin. Il nous apprends qu'il est hautement interdit de faire de la musique et des percussions dans le Pays RadinI, -pays d'ailleurs interdit aux visiteurs- et qu'en conséquence, Tagadam allait être emprisonné. Emprisonné sauf...si on lui remettait un fortune incalculable, ce dont la troupe n'était évidemment pas munie. Finalement, il fut convendu que si on l'aidait à rassembler les douze parchemins légendaires, apportant puissance et force à son possesseur, Tagadam serait libre.
Ainsi, étape après étape, les murs et fontaines du villages sont fouillées tout à tour jusqu'à trouver la totalité des parchemins. Un goûter bien mérité par cette marche dans le froid s'en est suivie avec le villageois. Le ventre bien remplis, il nous apprends un chose importante: "Au fait, je suis un brigand...et merci pour les parchemins!!" Le gaillard prends la fuite à toute jambe et sa trace est perdue!
Une fois le soleil tombé au dessous de l'horizon (et la température avec...), la troupe a inspecté la forêt et a finit par trouver le repère des brigands, chauffé par de nombreuses bougies. Une approche lente et longue permettra aux louloux de les éteindre unes à unes, ce qui finira par congeler les brigands qui tenteront de prendre la fuite. Mais en vain; les parchemins seront retrouvés.
Le lendemain matin, la liberté de Tagadam étant assurée, une dernière action se déroule en Pays Radin. Les louloux ont croisé des marchands vendant un objet utile à HAF, le magicien du groupe. N'ayant que très peu d'argent, la troupe a du arnaquer les vendeurs en tirant profit des différences de prix: on achète pas cher et on revends où ça paye le mieux. Ce petit commerce a été perturbé par l'apparition d'un brigand qui gérait les geôles du Pays Radin, qui comptait bien profiter de cette activité commerciale... En emprisonnant des louloux, il gagnait des sous en pot de vins pour leurs libération... Au final, le but a été largement atteint et le chaudron acheté.
Attablés autours d'une patate coyote avec de la saucisse, Partick, Angélique, Franck, les louloux et moi terminons le week-end tranquillement. Patrick et Angélique se sont occupé du ménage tandisque nous somme monté dans le pré du haut, lieux de plusieurs thèques par le passé. Mais nous n'avions pas de balle! Situation difficile de laquelle nous sommes sortis grâce à Jeanne avec qui est allé avec moi en trouver une chez le voisin.